Abruptement ainsi :
Je me suis fait délester, entre autres, de tout mon matériel photographique.
N’ayant même plus de raton laveur, vous n’aurez pas l’inventaire à la Prévert … mais il y en a pour « lourd »!!
J’avais mis en place, sur ce « blog », en transaction sécurisée, en rouge, en tête de la colonne de droite, la rubrique :
• Quelques litres dans le réservoir •
L’idée initiale était une participation kilométrique basée sur le volontariat et encouragé par des remerciements en forme d’images type fond d’écran.
L’idée n’est plus à l’ordre du jour, et pour cause!!
L’idée maintenant est tout autant de tester le succès de mes images que de détourner le pouvoir des chaînes de solidarité sur internet à mon exclusif profit!! …
A votre bon cœur!!
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Bon courage Marc!
j’espère que mon petit gest s’ajoute à une longue chaine 🙂
Tiens bon!
Alexandra (soeur de Guillaume)
de la valeur des choses…
Nous sommes passés mettre quelques pièces dans le gorret.
Ici, c’est quelques saucissons sur la place Monge accompagnés d’un petit blanc sur le zinc du bar du marché (ah la madeleine …)
Là bas, c’est de l’essence pour quelques kilomètres de plus, et surtout le voeux que tu poursuives ton voyage.
Alors courage et dimanche prochain c’est promis, on boira un canon à tes photos jusqu’en Alaska !
Un abrazo, et une p’tite tape sur ton épaule, mec.
Je pars au Chili aujourd’hui.
Retour le 12 mars.
Le « ramoneur »
Bonjour,
Je suis votre voyage depuis quelques mois et je reste toujours bouche bée devant vos photos ! Alors oui meme si elle est petite je vais apporter ma pierre à l’édifice pour que nous puissions de nouveau prendre un grand bol d’air le matin en se connectant sur votre site !
Bonne route à vous !
Posté sur le hub photo du réseau Viadeo :
« Marc Gibaud, Photographe convaincu, s’est lancé dans une fabuleuse aventure, l’an dernier qui consiste à relier le sud de l’Amérique du sud au nord de l’Amérique du nord, en moto, et d’alimenter un blog avec les images et les textes issus de ce périple.
Nombreux sont ceux qui suivent régulièrement son parcours.
Malheureusement, il vient de se faire délester entre autre de son matériel photo, et a envoyé à tout son carnet d’adresse un message d’appel aux bonnes volontés pour que son rêve puisse se poursuivre en dépit de l’adversité.
Je sais que nous ne vivons pas dans un monde de générosité gratuite, ou du moins ne la rencontrons-nous que trop rarement.
Mais j’aime à croire qu’après une petite visite sur son blog, certains auront l’envie de donner un coup de pouce !
Visitez son site à http://www.transam.fr
Ecrivez-lui à gibaud@free.fr
Merci pour votre regard !
Isa »
Je te fais suivre les mails si j’en reçois. Bon courage !
Cuanto lo siento.
Animo Camarade!
Tu es toujours là, bon pied bon oeil!
un abrazo
patxi
Ping : Help! sur Corto en Colombie ?
cuanto lo siento!!! espero que puedas recuperarlo!!! mucho animo!!!
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Ping : En galère! « Che! Boludo…
He oui! ce sont les risques du métier, comme dirait l’autre ..
Moi, ma dernière galère en voyage (Janvier à New Delhi) porte du placard de ma consigne fracturée, sac a dos envolé!! me restait le short et tee shirt sur moi (avec mon appareil photo en poche)!!
Mais en dehors de la valeur du matos, l’appareil photo est un vrai compagnon de voyage.. c’est le plus dur, je crois.. la perte affective!
Allez courage Marc, on est tous avec toi !!
Ouille, enfin de la vraie aventure avec de la galère comme il se doit, j’espère que ton assurance est riche et généreuse ! Je ne suis pas très riche, donc je te fais un petit don, tu pourras toujours t’acheter un carnet et un crayon pour dessiner les photos que tu ne peux pas prendre…
Bon courage !
Aie. Aïïïe. Adieux Canon, objos L et compagnie… J’en ai des frissons et pose instantanément un oeil bienveillant sur mon boitier à coté de moi. Allez, je mets quelques euros dans la calebasse pour t’encourager et te remercier d’avoir pris de le temps de discuter longuement lors de ton dernier passage à Paris, au temps bénit où les roublards péruviens n’avaient aucuns accès à ton sac photo.
Bon, tu es en bonne santé et il te reste la liberté d’aller humer où bon te semble, c’est encore pas mal. Une grand salut de la grisaille parisienne, et courage. Je compatis sincèrement…