A cette intersection entre les chemins,
à cette croisée des bus, des chevaux, des mules et de quelques rares 4×4,
il y avait un « dépanneur ».
L’expression est québécoise.
Ici, je vais sortir du Honduras. Donc :
Prenez quelque chose entre le « petit épicier du coin » et un « marchand de couleurs »,
mâtiné de bistrot, vendeur de glace à l’eau, guinguette, …
Pour l’attente des aléatoires lignes de car scolaire, … rajouter un abri,
un chien pas si errant que cela, deux ou trois poules, …
Agiter le tout avec un coq et deux chats faméliques et laisser mijoter quelques heures.
La vie reprend le dessus … après le passage d’un gringo!!
ce que tu décris c’est une épicerie de campagne de chez nous, mais combien en reste-t’il?
Il y a comme une belle complicité entre ses deux femmes. J’aime le sourire amusé de l jeune et le sourire qui se cache de la vieille.